Arrivée de Riese

Riese se demande pourquoi elle avait mit autant de temps à trouver la demeure des Riddermark mais elle comprit mieux lorsqu'elle arriva aux grilles. On pouvait que se cacher dans un endroit aussi tranquille.

Elle sauta de son cheval pour s'approcher des grilles mais prit son temps. Après tout, elle pouvait encore prendre son temps surement que les deux époux sont en vadrouille. Jasona sur un chemin ou un champ de bataille. Deb à une réunion ou autre bref elle traina les pieds pour se présenter aux gardes.
Elle retira sa capuche pour sentir le soleil sur ses joues et leva les yeux au ciel pour profiter de ces quelques rayons de soleil que l'automne offrait avant l'arrivée de l'hiver froid et sec qui pointerait dans peu de temps le bout de son nez.

Elle avait des sacs sur le dos de son destrier, des présents pour les enfants, l'ainée et les jumeaux. Même si l'ainée ne l'avait jamais rencontrée elle se devait de lui montrer sa sympathie.

Puis, après avoir flanée auprès des grilles et du pont levis, elle se fit voir pour qu'on lui ouvre.

Ho hey des tours, je me présente je suis Riese d'Ollviaud, amie des maîtres des lieux, y'a quelqu'un??

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 22/09/2007

Magneric s'ennuyait grave. Y avait jamais rien a faire ici. Et puis qui viendrait faire le malin chez le Comte Debenja. Personne. Ah il se souvenait de cette époque ou le Comte était aller rendre un petite visite amical chez son cousin Sirius. Quel action.

Magneric somnolait comme d'habitude lors de son tour de garde. Il faisait quand même attention, on ne sait jamais Valentine trainait toujours dans le coin, et comme elle était une bavarde pas possible. Chaque petite choses faite de travers étaient reporté à Madame la Comtesse ! Quelle peste cette Valentine. Mais qu'elle était belle.

Tiens en parlant de belle dame, en voila une qui s'approchait du château. Et bien, enfin de la visite et la, Magneric n'était pas mécontent d'avoir été dérangé.

Il prit son air de beau garçon, de garde important et musclé ... hum faut pas oublier qu'il était chez Debenja ... donc les muscles ... et se dirigea vers la belle invitée.

Bonjour ma p'tite Dame, que puis-je pour vous?

Comment puis-je être sur que vous ne voulez pas du mal à mon maitre bien aimé ! Vous me paraissez fort militairement équipez jolie demoiselle !

Riese sourit en voyant le garde rouler des mécaniques... Il devait pas trop s'ennuyer pour voir des gens, alors elle ne dira rien à ce petit numéro. Elle le regarda avec un de ces sourires qui pouvaient faire mouche. Après tout, elle découvrait peu à peu qu'elle avait un atout charme qu'elle ne soupçonnait même pas alors maintenant autant s'en servir et en jouer.

Monsieur le garde bonjour, je ne suis pas une ennemie mais mon matériel n'a rien a voir avec mes intentions. Votre maître, Debenja est un ami à moi et un ancien supérieur au sein de la prévôté pour qui je rends service d'où mon équipement. De plus je suis aussi la sœur cadette de Lluna Adams de Mélincourt, Comtesse d''Amancey, de Greenwarrior Adams de Melincourt,Baron de Rougemont et d'Artifice d'Ollivaud.

Je me présente ici pour le futur baptême des jumeaux Torwen et Elvyna pour qui je crois, si cela ne change pas, je serai la marraine. Mais je comprends votre méfiance mais je ne suis pas là pour être faire du mal. Un vieux réflexe de toujours être armée en cas de soucis sur la route.

Elle le regarda avec des petits yeux de cockers, un sourire en coin.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 22/09/2007

Magneric sourit bêtement en voyant le regard de la belle. Oooooh qu'il avait l'air bête quand même. Hum bon soit, c'est en rougissant légèrement qu'il répondit à la dame.

Hum euh bien oui m'dame, je vais voir avec le Comte veuillez attendre un instant !

Et Magneric s'en retourna non sans se prendre une partie du mur en retournant vers le château juste au moment ou il s'était retourné pour une nouvelle fois regarder la belle.

Riese esquiva un nouveau sourire en voyant le garde se prendre le mur lorsqu'il allait pour prévenir son maître... Dommage que ce charme fonctionne que sur certains et pas tous... Ah souffla t elle en levant les yeux au ciel, pourquoi est ce que lui ne voulait pas d'elle...

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 26/10/2010

Valentine était en chemin pour aller chercher une invitée qui venait d'arriver. Ce poltron de Magneric était venu annoncé sa venue, en tremblant comme une feuille comme si le Maitre Comte Debenja allait le faire pendre. Ahhh en pensant à son beau maitre, Val esquissa un sourire, qu'es ce qu'il était beau! Ensuite, son merveilleux Comte lui avait demandé d'aller chercher cette Dame, elle espérait que ce n'était pas une de ces maitresses, déjà elle haïssait la femme du Comte, normalement c'est elle qui devrait être à sa place! Elle savait qu'il l'aimait elle mais pas cette fausse Comtesse! Graa et ces morveux bâstard! elle les détestaient, elle se demandait pourquoi son merveilleux Comte qui l'aimait elle! allait engrosser une autre même si c'était sa femme et mélanger le sang de ces héritiers avec le sien.
A part ces désagréments, elle était heureuse de retrouver l'élu de son cœur, après la mort de sa vrai maîtresse, Dame Hanadora, le beau Comte Debenja était venu lui proposer ces services pour ne pas qu'elle finisse dans la rue et, d'après lui, c'était une idée de sa femme. Ne le croyant pas, il avait dis cela pour éviter de montrer sa flamme envers elle!
Elle avait tout compris mais avait garder le secret.

Ce trouvant devant la grille, elle regarda la femme d'un regard haut.

-Bonjour, je suis Valentine la dame de compagnie de la Comtesse Jasona femme du Comte Debenja mon maître. Il vous attend, veuillez me suivre. J'espère que vous ne le dérangerez pas trop longtemps, mon pauvre maître est très fatigué à cause de ces bat.. mar.. hum enfants, ils sont très perturbants.

Val déclencha le mécanisme pour ouvrir la grille, attendit que cette femme passe pour lui montrer le chemin.

-Magneric! espère de poltron fainéant! il y a la grille à refermer! tu n'as pas honte que je te dis tout ce que tu as à faire!

Ignorant si il l'avait entendu ou non, Val continua son chemin jusqu'au salon des invités sans rajouter un mot.

Magneric l'avait prévenu de l'arrivée de Riese. Il se prépara donc a recevoir son invitée. Il fit prévenir Jas de préparer le salon afin d'accueillir la marraine d'Elvyna.

Rhaaa Valentine ... pas elle ... soit.

Il se dirigea donc vers Riese et la salua chaleureusement.

Bonjour ma chère, comment vas-tu? Est-ce que le voyage c'est bien passé? Pas trop de soucis sur la route? lui dit-il tout en souriant.

Puis en regardant Valentine, il lui ordonna de retourner à son ouvrage.

Merci Valentine, vous pouvez retourner à votre ouvrage maintenant. Aller!

Et le Comte dirigea Riese vers le salon ou la petite Elvyna attendait sa marraine.

Riese qui patientait gentillement devant la grille que le garde un peu maladroit lui ouvre pour qu'elle puisse rejoindre Deb. Mais à sa grande surprise, ce fut une femme froide et hautaine, une dame de compagnie qui plus est qui vient la chercher pour l'amener à son ami.

Ces réflexions sur le temps de sa présence était des plus déplacées à son gout mais elle ne dit mot et regarda attentivement cette femme qui n'avait pas l'air de porter dans son cœur, sa maîtresse et les enfants.. Mais elle avait eu le temps de remarquer une flamme particulier et une intonation de voix, comme protectrice pour Deb... Hum, elle ne dit rien et se gardera bien de le dire à qui que se soit.

Elle l'a laissa comme une chaussette et la vit toute mielleuse devant son ami.

Deb mon ami quel plaisir de te voir enfin. Un vrai parcours du combattant que pour venir jusqu'à toi ... Et tu as de sacré cerbères. dit elle en jetant un regard en coin à la Dame Valentine qui s'éloignait le regard mauvais une fois que Deb l'avait congédie

je te suis dans ta demeure. Présente moi dont ma future filleule..

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 26/10/2010

Sur le chemin du château, Valentine rencontra son maître bien aimé. Un sourire mielleux s'étira sur ces lèvres. Elle n'eut pas le temps de lui dire un mot qu'il la congédia pour courir vers cette femme.

-hum, oui mon maître.

En entendant sa voie lui parler directement à elle, un frisson de plaisir lui parcourue le dos. Tournant le dos, elle obéit à son maître et retourna à ces occupations en maudissant cette femme qui attirant plus l'intention de son maître.